The historian Trần Huy Liệu, a primary proponent of this strand of patriotic and nationalist historiography, wrote: “Việt Nam was unified through a process of revolutionary struggle. 1 This teleological history was constructed by communist apologists and emphasized the role of Hà Nội (rather than Sài Gòn). In Northern pro-communist narratives, Vietnam’s history is one long glorious “tradition of resistance to foreign aggression” which culminated in victory on April 30, 1975. 2 Cited in Patricia Pelley, “The History of Resistance and the Resistance to History in Post-Colonial (.)ġFor Vietnamese, whether Northern or Southern, living in Vietnam or in exile, the past is a living presence animating the present.1 Initial research for this paper was conducted at the Imaginative Representations of the Vietnam Wa (.).Cet essai analyse deux de ses romans en traduction anglaise, Novel Without a Name (1995) et Memories of a Pure Spring (2000), en se concentrant sur les thèmes récurrents qui sont au cœur de ces œuvres, notamment les paradoxes du souvenir, les critiques de la guerre, l’idée de la fiction comme témoignage, et les mises en accusation de l’orthodoxie communiste et des doubles standards. Dương fut consternée lorsque le parti communiste mit un frein à toutes les libertés et elle exprima son désaccord en public et à travers sa fiction. Dương Thu Hương servit dans la Brigade des Jeunes Femmes pendant la guerre et espérait que la victoire conduirait à l’établissement d’une société plus égalitaire et démocratique. Les communistes victorieux traitèrent les Sud-Vietnamiens avec mépris et les soumirent à des humiliations et des violences, y compris l’incarcération dans des camps dits de rééducation. Si le 30 avril 1975 marque la fin des hostilités entre le Nord et le Sud du Vietnam, ce n’est pas la fin des conflits internes.
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